La gendarmerie nationale algérienne a équipé les unités de la gendarmerie nationale de terminaux de paiement électronique (TPE) de l’entreprise nationale des industries électroniques (ENIE) dans le but de moderniser les services aux usagers de la route.
Les automobilistes qui ont commis une infraction auront la possibilité de payer immédiatement l’amende forfaitaire sur place et de récupérer leur permis de conduire sans délai grâce à ces dispositifs.
D’après l’APOCE (Organisation Algérienne de Protection et d’Orientation du Consommateur et son Environnement), celui-ci vise à simplifier les procédures administratives pour les utilisateurs.
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Il convient de souligner que l’utilisation de ces TPE demeure optionnelle. Les fautifs ont toujours la possibilité de payer leur amende par les moyens classiques.
Cette démarche fait partie d’une initiative visant à améliorer la qualité des services proposés dans le domaine de la sécurité routière et à rendre le paiement électronique plus répandu pour faciliter les démarches pour les citoyens.
Selon le Ministre des Finances, 2025 marquera l’arrivée de réformes économiques
Les ambitions du gouvernement algérien en matière de transition numérique sont renforcées par cette avancée technique. Effectivement, Laaziz Faid, le ministre des Finances, a déclaré que l’année 2025 serait un moment décisif dans la réalisation de réformes économiques majeures.
Faid a souligné l’importance cruciale de l’année à venir lors d’une réunion de la commission nationale chargée d’évaluer les risques liés au blanchiment d’argent, au financement du terrorisme et à la prolifération des arm
Selon ses propos, l’année 2025 serait dédiée à l’approfondissement des réformes économiques et à l’élargissement de l’assiette fiscale, dans le but de diminuer l’économie informelle et les transactions en espèces.
L’extension des transactions électroniques qui débutera le 1er janvier 2025 est l’une des principales initiatives révélées. Selon ministre, cette mesure aura pour effet d’accroître la transparence des transactions et de simplifier leur suivi.
De plus, le gouvernement algérien envisage de créer de nouvelles mesures visant à combattre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Différents domaines, tels que les huissiers de justice, les avocats, les paris et jeux d’argent, les commissionnaires en douanes, les experts-comptables et les commissaires aux comptes, seront soumis à des plans d’action spécifiques.
Ces déclarations font partie d’une initiative visant à moderniser l’économie algérienne et à renforcer la conformité financière. Le gouvernement vise donc à susciter l’intérêt des investissements, à améliorer le climat des affaires et à améliorer le bien-être personnel.
